jeudi 12 avril 2012

PS : I love NY. Episode 2 : NY sur écran

Pour ceux qui n'ont pas suivi, on poursuit cette petite série choses à voir, à lire, à écouter sur NY avec l'épisode 2 :

NY en 3 films...et 1 série

Bon, je ne te parle pas de Gossip Girl, Sex & the City et Le Diable s'habille en Prada. Je ne crache pas dans la soupe, je les ai tous vus. Oui, NY c'est aussi les filles sublimes hyper lookées qui foncent se faire manucurer avant chaque date, mais est-ce que c'est la partie la plus intéressante de cette ville ? Pas sûr.
En revanche, je te conseille :

Whatever Works de Woody Allen

Parce que Woody Allen revient à ses premiers amours : NY, cet humour grinçant qui fait sa signature, ses personnages hyper caricaturaux. L'histoire de ce vieux type accariatre qui se retrouve à héberger une jeune provinciale aussi bombesque que paumée est d'un cynisme jouissif.

Ouais t'as bien vu, y'a Scarlett Johansonn dedans

Breakfast at Tiffany's de Blake Edwards

Pour son côté rétro, son esthétisme et Audrey Hepburn bien sûr! Truman Capote, l'auteur de la nouvelle s'est plaint du choix d'Audrey Hepburn, car il pensait plutôt à Marylin Monroe en écrivant son oeuvre. Pas très très sympa Truman parce que au final, la petite Audrey fut pour beaucoup dans le succès du film.
Oui, avant de devenir le poster le plus vendu chez Ikéa, cette photo est issue du film
Shame

Bon, j'ai un peu hésité parce que c'est un film pas vraiment évident. Ouais, ça parle d'addiction sexuelle, un peu d'inceste aussi, pas le film à aller voir entre célibataires un vendredi soir quoi (ça arrive aux meilleurs d'entre nous). Sans en dire trop, j'aime cette idée de présenter NY dans tous ses excès. Pour le héros, Michael Fassbender (qui certes, tombe le bas mais livre également une impressionnante performance d'acteur), la ville devient un terrain de chasse et en même temps un piège plein de tentations. Et puis il y a cette scène superbe où Carrey Mulligan chante New York-New York accompagnée au piano, des sanglots plein la voix, superbe.



Mad Men

Comme quoi, le mainstream, ça peut avoir du bon! Si jamais vous avez vécu sur une île déserte ces dernières années et que vous ne connaissez pas cette série retraçant les tribulations de publicitaires new-yorkais dans les années 1960, foncez! Un esthétisme incroyable, des costumes et des décors extra, des acteurs au top, un tableau sans concession sur l'Amérique matérialiste, macho et puritaine. Bref, de la forme ET du fond (avec du Donald Draper dedans).

Les femmes à la maison et les hommes au bureau, vous inquiétez pas, ça va pas durer.

1 commentaire:

Roodkapje a dit…

Je n'ai jms vu ce fameux film Breakfast at Tiffany's de Blake Edwards, va falloir quand même y remédier...